1. |
Wounded by the forest
05:04
|
|||
2. |
Abysse
04:40
|
|||
3. |
Char de feu
04:50
|
|||
4. |
Gris
04:21
|
|||
|
Je regarde en silence
Encore une fois
Et la mer et le ciel
Ne changent pas
Gris
Bleus, écoutez-moi
Regardez ce prestige
J'en ai la nausée, le vertige
Dans ce marasme ancien
De ces miasmes humains
Gris
Verts, répondez-moi
Gris, emmenez-moi.
Dans le ciel il y a la lune
Et les étoiles se montrent enfin
Et au plus haut de la tribune
Il y a cet écho lointain
D'aucun serait rempli d'effroi
Par l’écrasante pérennité
De cet abîme qui comme un toit
Ne montre que l'éternité
Mais dans cet infini néant
On dit qu'il y réside l'espoir
Que dans l'espace il y a le blanc
Et dans le reste il y a le noir.
|
||||
5. |
Le grand chien
04:14
|
|||
6. |
Renards
03:36
|
|||
|
La ville est en rumeur
De sombres desseins
Du murmure au grondement
Le oui-dire devient divin
Ils épuisent le soleil
il fait si sombre, si sombre
La cloche qui retentit est connue comme le loup blanc
Le moineau se fait sensé, le baveux se fait marchand
Inconscients, si bruyants
Les salonniers font la lumière sur l'aveugle et le sauvage
On y parle du temps et ça fait rire le sage
Et pourtant, c'est terrifiant
Soudain je me rends compte enfin du renard rusé qui chante
Et au fond de ses yeux malins on voit danser Satan
Et tout est clair, si clair.
|
||||
7. |
Angustum
03:42
|
|||
8. |
Dirty skies
03:42
|
|||
9. |
Maar
06:27
|
|||
10. |
L'horloge
03:43
|
|||
|
Il est l'heure pour les peureux
De rentrer dans leur tanières
Et d'observer la nuit, amers
Car bientôt viendra le feu
Elle a touché le ciel
et j'ai vu ses ailes
Et la peste viendra troubler
Le silence des pauvres riches
Même les saints au fond de leur niches
Apres leurs dieux iront pleurer
Il est minuit
Et l'horloge retentit
Elle a touché le ciel
Et j'ai vu ses ailes
Elle a touché le ciel
Et j'ai vu ses ailes
Et j'ai vu ses ailes
La fumée a tout enveloppé
À la suite de l'éclair
Et partout plus de lumière
Toutes les ombres sont figées
Tout est calme
Désormais sur la terre
Elle a touché le ciel
Et j'ai vu ses ailes
Elle a touché le ciel
Et j'ai vu ses ailes
|
||||
11. |
De sable et de sel
04:49
|
|||
12. |
L'ombre
04:12
|
|||
|
Ma barque prend l'eau
Dans cet étang d'oubli
J'écope avec mon seau
Mais il est toujours rempli
Grande est votre patience
La nuit elle-même le dit
Vous volez mon insouciance
Quand je suis dans mon lit
Je vous vois assise au fond
J'entends le chant alto
Et par inattention
Je tombe hors du canot
Grande est votre patience
La nuit elle-même le dit
Vous volez mon insouciance
Je suis seul dans mon lit
Je ne vois plus la digue
Le lac s'est assombri
Aperçois la fatigue
Je suis trop affaibli
Grande est votre patience
La nuit elle-même le dit
Vous volez mon insouciance
Je cherche un abri
Et même si c'est fou
Vous empestez la mort
Vous sautez à mon cou
Et controlez mon corps
Grande est votre patience
La nuit elle-même le dit
Vous volez mon insouciance
Mon esprit s'assombrit
Les limites sont brisées
Dans mon cerveau corridor
Je vous ai laissée entrer
Et j'ai scellé mon sort
Grande est votre puissance
Et moi je suis banni
Vous violez mon insouciance
J'ai peur de vous folie
|
||||
13. |
Le départ
03:19
|
|||
If you like Gurvan, you may also like:
Stunning electroacoustic songs where an intricate latticework of hammered dulcimer and billowy synths mirror an insect’s metamorphosis.
go to album
A Picture for a Frame
by Noble Dust
Boston group excels at making songs driven by taut, multilayered vocal harmonies and supported by Americana arrangements.
go to album
Intersection
by An Eagle in your Mind
From France comes this devilish dark folk record from the curiously named An Eagle in Your Mind, full of shadowy songs that will hypnotize.
go to album
Maer, from Switzerland, debut with a haunted (and haunting) folk song that will warm you heart as it sends shivers down your spine.
go to album
featured on Bandcamp Radio Apr 30, 2024
go to album
The Toronto-based sextet make moody, cinematic sounding music that blends psych-folk and post-rock.
go to album
Mind, Man, Medicine
by The Secret Sisters
The Alabama duo's fifth album exults in dusty Americana, showcasing rich vocal harmonies alongside blissful folk instrumentation.
go to album
